Même avec une grève de 11 mois 2024.

Même avec une grève de 11 mois acompte de 04 septembre jusqu’à 19 juillet 2024 en obtiens rien des tout parce que notre corps intendance malade avec des mensonges et hypocrisie entre nous

tt a fé…allah yahdina w yahdihoum

18 wilayats en greve le 05 septembre 2024.

18 wilayets en grève le 05 septembre 2024 pour personnels d’intendance et le 02 septembre 2024 une réunion des syndicats d’intendance de Bejaia a 10h00 au lycée el hamadia et le combat continue

es enseignants en grève de la faim dès le 7 avrilv 2024.

Alger-Ouest :
les enseignants en grève de la faim dès le 7 avril

Une grève de la faim sera observée à la reprise des classes, à partir du 7 avril, par des travailleurs de l’éducation pour protester contre l’affichage de la liste des admis aux concours de l’éducation

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Ils déclarent être «lésés dans leurs droits» et réclament la révision «pure et simple» de la liste des admis aux postes de directeur des collèges et d’inspecteurs des cantines affichée mercredi dernier à la direction de l’éducation d’Alger-Ouest. Une liste qui serait à l’origine d’une grande protestation dans cette académie, puisque, affirme une source proche du dossier, «des dépassements et des dysfonctionnements ont été enregistrés».

Notre source révèle la publication de noms qui «n’auraient pas dû passer le concours organisé en février dernier». «Des personnes qui ne répondent pas aux conditions exigées ont été admises. Et la priorité pourtant donnée aux titulaires d’un master n’a pas été respectée», se désole notre source. Et d’ajouter que la liste concernant les inspecteurs de cantines «n’est bizarrement toujours pas affichée en attendant que les esprits se calment». Le directeur de l’éducation d’Alger-Ouest était injoignable hier.

La greve 2024.

Vive la greve

الجيريا

[IMG]الجيريا[/IMG]

أجبني صراحة يا أستاذ ماذا لو هددوك بالفصل هل ستبقى مضربا ؟ أجب صراحة

تبا للاضراب ههههههههههههههههههه

ان شاء الله خير

الجيريا

Oui pour la grève de 29avril2024 2024.

نعم للإضراب الذي دعت إليه نقابة الأونباف لماذ؟
أولا:
لأن مطالبنا مدرجة (أساتذة التعليم الأساسي المكونون)
ثانيا:
لأننا إن لم نضرب معناه قبلنا بهذا القانون العار.
ثالثا:
لأن في هذا البلد تحصل على حقوقك بالدبوز وليس بالتي هي أحسن

صح …..للأسف هذهيا بلادنا ….بلاد ميكي

دير وحدك الله إسهل عليك.

مادام رجعتوها مصالح ضيقة فلن اضرب مادام لاشئ يعنيني
واطلب مساندة جميع المجازين مثلي

لن اضرب من الان فصاعدا لان قضيتنا لم تدرج في كل الاضرابات بالرغم من مراستلنا للنقابة في موقعها

لا للارسدي ر س د لا اضرب مع الحدين و المرتدين الاضراب معناه مساندة المدير الحشاي و الفيس المنحل و الارسدي المرتد

ان سعيد سعدي مثل السرطان مع بلحاج بدا بالتربة و التعليم ثم التعليم العالي فضحتهم الملصقات انه الشيطان المريد حدار حدا ر

Le spectre d’une greve 2024.

Education: Le spectre d’une grève illimitée plane de nouveau

Les enseignants affiliés au Cnapest ont observé, hier, une journée de grève et des sit-in devant les directions régionales de neuf wilayas. Il s’agit de Boumerdès, Tizi-Ouzou, Bouira, Relizane, Constantine, M’sila, Béjaïa, Skikda et Tlemcen.

Selon le chargé de communication Messaoud Boudiba, que nous avons contacté par téléphone: «les wilayas d’Aïn Defla, Oran, Alger, Mostaganem et Saïda tiendront leurs conseils, samedi prochain, pour engager une action similaire». Il nous a indiqué que «d’autres wilayas sont également sur le point de tenir leurs conseils et pourraient rejoindre la protesta».

Pour notre interlocuteur «les rapports de la base sont très pessimistes et certains concluent carrément à aller vers une grève illimitée». Le responsable syndical a révélé qu’à la wilaya de Boumerdes où le rassemblement a duré plus de trois heures devant la direction de l’Education, les protestataires ont voulu adresser une lettre au ministre de tutelle, dans laquelle, ils dénoncent les atteintes aux libertés syndicales, la marginalisation des syndicalistes et le mépris des enseignants». Et d’ajouter que «la directrice de l’Education a refusé de prendre cette lettre et de la transmettre à Benbouzid» Pour Boudiba «le ministère est en train de resserrer l’étau sur les syndicalistes et les enseignants grévistes, il y a une instruction du ministre qui réfute le droit aux enseignants de tenir leurs réunions et leurs assemblées générales, le moindre regroupement attise la suspicion». Les enseignants grévistes de Constantine ont carrément décidé de ne pas «transcrire les notes du 2e trimestre sur les bulletins des élèves du secondaire», ajoute-t-il. Pour rappel, le retour à la protestation est motivée par la nouvelle instruction de Boubekeur Benbouzid, notifiant aux directeurs de l’Education d’effectuer des ponctions sur salaires de 9 jours de ce mois d’avril après avoir défalqué 5 jours du mois de mars, une décision jugée arbitraire par les contestataires qui brandissent de nouveau, l’exigence de régler les dossiers inhérents au régime indemnitaire, les œuvres sociales ainsi que la médecine du travail, non encore résolus. Les syndicalistes à Béjaïa ont coordonné avec ceux de l’Unpef et ont appelé dans un communiqué à «la promulgation immédiate du régime indemnitaire des corps communs et ouvriers professionnels, le respect des libertés syndicales, la prise en charge des situations financières et administratives pendantes et enfin au gel de la commission de wilaya des œuvres sociales de l’Education qui est gérée abusivement par un seul syndicat, alors qu’il est loin d’être représentatif». Messaoud Boudiba a vivement critiqué la réponse du ministre quant au motif du débrayage du Cnapest, hier, déclarant que «le ministre fait dans la désinformation». Benbouzid a estimé que «les enseignants contestataires ont fait référence à des textes réglementaires obsolètes», en soulignant que «les grévistes mettaient en avant, la circulaire interministérielle fixant les modalités de la retenue sur rémunération des journées de grève, datant du 12 mars 1991, alors que celle-ci a été abrogée par une circulaire interministérielle du 25 novembre 1998, laquelle a été abrogée à son tour par la circulaire interministérielle du 5 octobre 2024, signée conjointement par le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale et le directeur général de la Fonction publique. Toutefois, toutes les circulaires citées font référence à la loi n°90-02 du 6 février 1990, relative à la prévention et au règlement des conflits collectifs de travail et à l’exercice du droit de grève». Le chargé de communication du Cnapest explique que «les ponctions selon cette loi devaient être négociées, or ce qui arrive c’est que le ministre abuse de son autorité et foule au pied nos droits élémentaires».

L’Unpef cesse la grève 2024.

Alors que le cnapest réserve sa décision pour demain : L’Unpef cesse la grève

Forcing de Benbouzid : les récalcitrants seront remplacés par de nouveaux enseignants et les syndicats grévistes seront poursuivis en justice Les pressions exercées par le gouvernement et le ministère de l’Education nationale sur les enseignants et leurs syndicats portent en partie leurs « fruits ». L’Unpef, un des deux syndicats initiateurs de la grève entamée le 24 février dernier, décide de mettre fin à son action. « Nous avons décidé d’arrêter la grève en application de la décision de justice prononcée au nom du peuple algérien », affirme Messaoud Amraoui, chargé de communication de l’Unpef.

C’est la première décision du conseil national du syndicat, dont la réunion se poursuit encore au moment où nous mettons sous presse. « Le conseil national a tranché en faveur de la reprise du travail. Mais, nous n’avons pas encore décidé si cette reprise interviendra demain (aujourd’hui) ou après-demain. En tout cas, nous avons adressé un fax aux bureaux de wilaya de notre syndicat pour informer les responsables locaux de la décision prise par le conseil national », explique-t-il. Messaoud Amraoui estime, toutefois, que la suspension du débrayage « n’a aucun rapport avec les menaces prononcées à l’encontre des grévistes par le ministère de l’Education ». « Nous n’avons pas pris en considération les menaces des pouvoirs publics. Notre décision a été prise après un débat général au cours duquel tous les membres du conseil national ont donné leur avis », ajoute-t-il. L’année scolaire 2024-2016 est-elle sauvée ? Si pour les élèves du primaire et du moyen le risque d’une année blanche n’existe plus, ceux du secondaire doivent encore attendre.
Le deuxième syndicat gréviste, le Cnapest (organisation dont les adhérents sont tous des profs de lycée) ne s’est pas encore prononcé sur la question du maintien ou non de la grève. Le Cnapest, souligne son secrétaire général, Nouar Larbi, devra trancher la question demain. « Nous allons réunir notre conseil national lundi. C’est la seule instance du syndicat qui puisse se prononcer sur le sujet. Je suis le dernier à connaître sa décision et le premier à l’annoncer », déclare-t-il. Cependant, les enseignants affiliés au Cnapest ne semblent pas près de reprendre le chemin des écoles. « Selon les échos qui me sont parvenus de certaines wilayas, les enseignants sont déterminés à poursuivre le débrayage », soutient-il.
Nouar Larbi se moque également des menaces proférées à l’encontre des grévistes par leur tutelle. « Les sanctions ne règlent jamais le problème. S’ils (les pouvoirs publics) décident de remplacer 400 000 enseignants grévistes, ils auront 400 000 nouveaux chômeurs qu’ils devront embaucher », lance-t-il. Notre interlocuteur souligne également l’illégalité de la radiation des enseignants grévistes. « La loi 90-02 régissant les relations de travail ne parle pas de rupture de contrat. Elle prévoit seulement le gel de la relation du travail », rappelle-t-il. S’exprimant sur la décision d’entamer la procédure de radiation des grévistes, prise hier après-midi, par le ministère, le Cnapest ne cache pas son indignation. « C’est un grave dépassement et c’est malheureux ! Tout le gouvernement se solidarise pour piétiner la Constitution en bafouant un droit constitutionnel des travailleurs », déplore Messaoud Boudiba, chargé de communication du Cnapest.
Affirmant que le gouvernement veut, à travers son geste, pousser la situation au pourrissement, il appelle à une intervention du président de la République afin de mettre un terme à la violation des lois du pays.

Wa9teh ta5lass la grève 2024.

الجيرياالجيرياالجيرياالجيرياالجيرياالجيرياالجيريا
salut les amis cv !
7aba nsa9sikoum wa9teh tem la gre`ve bech ma kalah nrou7 kol youm li 3labalou ygoulna الجيرياالجيرياالجيرياالجيرياالجيريا

dsl hanouna wlh ma3labali

nrmlmnt b le dimanche

7na makach la greve 9rina normal

اقتباس:
المشاركة الأصلية كتبت بواسطة khaloussa الجيريا
nrmlmnt b le dimanche

راكي sur ???,

الإضراب مستمر لأجل غير محدد حتى تقوم وزرة التربية بتلبية جميع طلبات النقابة
لمزيد من المعلوماتhttps://www.cnapest.com/index.htm

لما تدخل للموقع هناك شريط أخضر إقرأه كذلك المستطيل الكبير الأحمر وسط الصفحة