Deux syndicats de l’éducation appellent à des actions de rue 2024.

Les syndicats SETE, affilié à l’UGTA, et l’UNPEF appellent à des actions de rue à Tizi Ouzou. Dans une déclaration rendue publique à l’issue de son conseil de wilaya, tenu jeudi 24 février, le SETE‑UGTA a appelé à un rassemblement des travailleurs de l’éducation devant le siège de la wilaya de Tizi Ouzou pour le 8 mars prochain. Pour sa part, l’UNPEF a appelé ses adhérents ainsi que tous les travailleurs du secteur à se préparer à une action de rue qui pourrait être une marche dans la ville de Tizi Ouzou.

Ces deux syndicats qui sont connus pour s’opposer régulièrement semblent pour une fois accorder leurs violons puisque leurs actions sont motivées par une même revendication, à savoir celle de la liquidation des arriérés de salaires des travailleurs qui sont bloqués au niveau du trésor public dont les responsables ont été virulemment dénoncés dans les déclarations des deux syndicats.

source : www.tsa-algerie.com

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HAMIDI je crois que tu vit dans un monde paralelle tu dit qu’il y’a mille facon de demander ses droit tu te croic en norvege t en algerie mon frere ouvre les yeux et question de retirer ou modifier ma participation n’est pas de ton ressort heureusement !! sinonon sera tous museler !

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المشاركة الأصلية كتبت بواسطة vegas76 الجيريا
HAMIDI je crois que tu vit dans un monde paralelle tu dit qu’il y’a mille facon de demander ses droit tu te croic en norvege t en algerie mon frere ouvre les yeux et question de retirer ou modifier ma participation n’est pas de ton ressort heureusement !! sinonon sera tous museler !

je te demande mille et mille pardon ,c’est à moi de retirer ma participation
désolé

Benbouzid impose le couvre-feu aux syndicats 2024.

Benbouzid impose le couvre-feu aux syndicats

Une note ministérielle datée du 2 mars dernier a été envoyée aux directeurs de wilaya de l’éducation pour geler momentanément les activités syndicales au sein de l’ensemble des établissements scolaires. Une note que certains directeurs de l’éducation affirment n’avoir pas reçue. « C’est une procédure lancée pendant les journées de grève. C’est tout à fait normal d’interdire l’accès aux syndicalistes dans la mesure où la relation de travail est rompue et de ce fait ils ne peuvent pas avoir une autorisation d’accès, particulièrement ceux qui ne font pas partie de l’établissement », explique un directeur de l’éducation.

notre Algerie profonde

Les syndicats enseignants continuent d’agir en ordre dispersé 2024.

Les syndicats enseignants continuent d’agir en ordre dispersé

الجيريا

Les syndicats enseignants continuent d’agir en ordre dispersé. Cette dispersion est le résultat des manipulations de longue haleine menées par le pouvoir pour atomiser l’action revendicative et l’unité syndicale. Cette dispersion va devenir le principal atout de l’administration face au ras-le-bol grandissant des enseignants (les mal-aimés dans l’échelle libérale en vigueur) des différent degrés et à la montée prévisible du mouvement revendicatif. Pourtant, aussi bien sur les revendications spécifiques du sud que sur les propositions liées au statut, ou à la situation inacceptable des corps communs, les differents syndicats semblent avoir une approche commune. Pourquoi alors ne se mettent-ils pas d’accord pour formuler des revendications concertées suivies d’actions coordonnées sur le terrain?

توحدت المطالب و تفرقت النقابات , لماذأ ؟

تواصل نقابات المعلمين للعمل في غير منظم. هذا التشتت هو نتيجة التلاعب مطولة قامت بها الحكومة لتفتيت العمل الصناعي والوحدة النقابية. وهذا التشتت تصبح إدارة الأصول الرئيسية التي تواجه تزايدras-le-bol من المعلمين (وغير محبوب في نطاق الليبرالية سارية المفعول) من درجات مختلفة ويمكن التنبؤ بها ارتفاع حركة الاحتجاج. ومع ذلك، فإن كلا من جنوب بمطالبات محددة بشأن المقترحات المتعلقة بمركز، أو هيئة مشتركة غير مقبول، ويبدو أن مختلف النقابات أن يكون لها نهج مشترك. ثم لماذا لا يضعون لن توافق على تقديم طلبات منسقة تليها إجراءات منسقة على أرض الواقع

لنقف مع جميع النقابات
unpef…………………………………………من اجل اسقاط القانون
cnapest……………………………………. .من اجل اسقاط القانون
snapest……………………………………. من اجل اسقاط القانون
snte………………………………………. …..من اجل اسقاط القانون
cla……………………………………….. …..من اجل اسقاط القانون

Le ministère de l’Education tourne le dos aux syndicats 2024.

Le ministère de l’Education tourne le dos aux syndicats

Niet ! Le ministère de l’Education nationale ne veut plus entendre parler des problèmes socioprofessionnels des travailleurs du secteur. Il l’a fait savoir clairement aux syndicats autonomes.

Ces derniers sont priés d’abandonner leurs principales revendications qui sont la révision du nouveau régime indemnitaire, la gestion des œuvres sociales et la médecine du travail. «Le secrétaire général du ministère nous a déclaré clairement que le ministère de l’Education ne s’occupe plus des problèmes socioprofessionnels des enseignants et qu’il ne prend en charge que le côté pédagogique», affirme le Cnapest dans un communiqué rendu public hier. Tous les dossiers ouverts par les syndicats et qui ont été à l’origine de la perturbation de l’année scolaire 2024-2016 seront désormais fermés. C’est en somme ce qu’a expliqué le secrétaire général du ministère, Boubekeur Khaldi, aux membres du bureau national du Cnapest quand il les a reçus, le 28 septembre dernier.

«Sur la question du régime indemnitaire, le représentant du ministère a affirmé que le gouvernement a promulgué le texte et il n’est pas prêt à le réviser. Pour la question de la médecine du travail, il a affirmé que le gouvernement ne veut plus d’une médecine spécifique à la Fonction publique, d’autant que l’accès aux soins est gratuit pour tous les Algériens. Concernant la gestion des œuvres sociales, le SG du ministère a affirmé que le gouvernement a pris en charge ce dossier et s’il demande des consultations, le ministère informera les syndicats», explique le bureau national du Cnapest dans son compte rendu de la réunion avec les représentants du ministère.

La tutelle, ajoute encore le Cnapest, ferme également les portes du dialogue sur la retraite après 25 ans de service et les primes spécifiques pour les enseignants du Sud, des Aurès et d’Essaoura. Une désillusion pour les syndicats autonomes qui croyaient que leurs revendications seraient satisfaites, surtout après la mise en place, fin 2024, de trois commissions mixtes chargées d’étudier les dossiers en question. Réagissant à ce revirement dans la position du ministère de l’Education, le Cnapest crie à «la provocation». «Si le ministère ne s’occupe pas des problèmes socioprofessionnels de ses travailleurs, qui c’est qui les prendra en charge ? Nous avons demandé au SG du ministère de nous désigner clairement un interlocuteur avec qui nous pourrons poursuivre le dialogue autour des revendications des enseignants», a déclaré Messaoud Boudiba, chargé de communication du Cnapest.

Selon lui, la position du ministère «est synonyme de la fermeture des portes du dialogue devant les représentants légitimes des travailleurs». Messaoud Boudiba affirme, dans ce sens, que le Cnapest ne baissera pas les bras et ne laissera pas tomber ses revendications. «Le ministère veut nous pousser à l’erreur, mais nous sommes vigilants. Le conseil national du Cnapest a soumis ce rapport à la base pour examen. Nous avons demandé aux responsables locaux de faire une évaluation approfondie de la réponse du ministère. Et notre réponse aura lieu. Elle sera bien étudiée», indique-t-il, en précisant que le conseil national du Cnapest tiendra une nouvelle réunion à la fin du mois en cours pour adopter la démarche à suivre.

Syndicats autonomes : les petites ouvertures d’Ouyahia 2024.

[LEFT]Le premier ministre Ahmed Ouyahia a expliqué, vendredi 30 septembre, que les syndicats autonomes, exclus de la Tripartite, ne sont pas « ignorés » par le gouvernement. Mais il a laissé entendre « qu’il y aura un assainissement » prochainement.
« Si la participation à ce sommet s’est limitée à l’Union générale des travailleurs algériens (UGTA), il ne faut nullement en déduire que les syndicats autonomes ne sont pas reconnus ou qu’ils sont ignorés », a‑t‑il déclaré lors d’un point de presse animé à l’issue de la Tripartite. Selon lui, les raisons de leur non‑invitation à la Tripartite sont liées au fait qu’ils sont actuellement en négociations dans leurs secteurs d’activité. « Ces syndicats sont actuellement en négociations dans leurs secteurs d’activités (…) Avec le temps on finira par connaître le poids de chaque syndicat et sa véritable représentativité », a ajouté le Premier ministre.

Actuellement, 25 syndicats activent au sein des entreprises de la fonction publique et environ 10 au niveau de la seule compagnie aérienne publique, a rappelé Ouyahia. Mais il a laissé entendre qu’un assainissement pourrait être opéré au sein des syndicats autonomes dont certains chefs « ne travaillent même pas dans le secteur d’activité du syndicat ». « Le jour viendra où ces syndicats cesseront leur parade et nous trouverons une solution pour dialoguer avec eux », a‑t‑il dit.

Par ailleurs, dans le communiqué sanctionnant la réunion de la Tripartie, le gouvernement n’a pas exclu de recourir à la justice pour garantir aux travailleurs le droit de se syndiquer, notamment au sein des sociétés privées et étrangères où beaucoup de travailleurs se sont plaints d’« entraves à l’exercice syndical ». « Réaffirmant qu’il est de sa responsabilité de veiller au respect des lois et règlements, le gouvernement s’est déclaré disponible pour intervenir à travers ses organes compétents, et le cas échéant, à saisir les juridictions, pour toute violation persistante du droit des travailleurs au libre exercice de leur droit syndical », note le communiqué.

Selon le même texte, l’ensemble des organisations patronales participant à la tripartite ont dénoncé ces violations sur le droit syndical, en se déclarant, « solidaires dans la défense de ce droit des travailleurs ».[/LEFT]

Les syndicats maintiennent la pression 2024.

Education: Les syndicats maintiennent la pression

par Mokhtaria Bensaâd

Mauvais temps annoncé dans le secteur de l’éducation. La majorité des syndicats se sont donné le mot pour maintenir la protestation, soulignant leur déception totale des rounds tenus avec le ministère de l’Education et dernièrement avec la commission gouvernementale. Impossible d’avoir satisfaction pour le partenaire social malgré les tentatives du département de Benbouzid de jouer au pompier. Après l’UNPEF qui s’apprête à déclencher la grève à partir du 10 octobre suite aux résultats considérés insatisfaisants de sa rencontre avec la commission, le SNAPEST vient de décider, lui aussi, de durcir le ton le 10 octobre avec une grève illimitée étant donné que la rencontre de ce jeudi avec la commission gouvernementale n’a rien apporté de nouveau. Selon le coordinateur national du SNAPEST, M.Meriane Meziane, «le SNAPEST maintient la grève car il y a une volonté de réduire la classe moyenne pour la maintenir dans une misère. Une façon de laminer cette classe moyenne représentant pourtant la locomotive économique et sociale». Sur les résultats de la rencontre de jeudi, le représentant du SNAPEST chargé des conflits, M. Aous, explique que «les discussions butent encore sur le dossier du régime indemnitaire et notamment cette injustice salariale. Nous n’avons pas encore obtenu satisfaction sur ce point et nous sommes déterminés à aller vers la grève le 10 octobre car nous n’allons pas attendre une réponse de la commission prévue le 15 octobre. Les enseignants ont décidé de durcir le ton et se mobiliser le jour j». Pour le SNAPEST, en effet, la prime de zone, la prime du Sud, la prime de l’amélioration des tâches complémentaires (IATC) et l’alignement des salaires sur les autres secteurs restent des points en suspens pour lesquels la commission n’a pas encore tranché. Devant ce «blocage», le SNAPEST se dit déterminé à passer à une vitesse supérieure.

Avant le SNAPEST, la commission s’est réunie avec le SNTE et le SATEF pour discuter de leur plateforme de revendications.

on est pret à declencher une guerre illimitée

Benbouzid répond aux syndicats 2024.


Le ministre de l’Education nationale, Boubekeur Benbouzid, a considéré hier que le dossier des contractuels «est définitivement clos», estimant dans la foulée que l’agitation à propos du statut particulier de l’éducation n’a pas lieu d’être, comme il rejettera aussi la balle au syndicats concernant le dossier des œuvres sociales.

S’exprimant en marge de la visite de travail qu’il a effectuée dans la wilaya de Laghouat à la veille de la visite du président de la République, le ministre de l’Education, qui répondait à des journalistes, n’a pas mâché ses mots : «Nous avons régularisé 30 000 contractuels ; il est désormais hors de question de recruter des agronomes pour enseigner».

Benbouzid rejette ainsi la demande d’intégration de ces derniers. «Le dossier des contractuels est définitivement clos», a-t-il tranché, alors que sur les 30 000 contractuels régularisés, certains enseignants n’ont pas encore intégré leurs postes. «Une question de temps», selon le ministre.

A une question du Temps d’Algérie sur la menace de recourir à la grève brandie par les syndicats autonomes qui rejettent le statut particulier, Benbouzid rappelle que ces mêmes syndicats «sont actuellement invités» à la table des discussions pour peaufiner le texte, affichant ainsi la volonté de la tutelle de répondre favorablement aux demandes exprimées par les travailleurs du secteur.

«Nous avons invité les syndicats à la table des négociations. Nous sommes en train de discuter des insuffisances», a expliqué Benbouzid, affirmant que les discussions vont prendre fin «dans une semaine». Le ministre de l’Education promet même «un deuxième round» au cas où des rectifications restent encore à faire.

«On ne peut pas protester contre un texte qui est en cours», nous expliquera Benbouzid. S’agissant du dossier épineux de la gestion des œuvres sociales sur lequel se «battent» actuellement deux ailes représentant les syndicats autonomes, surtout après le déroulement de la première phase des élections contestées par l’aile SNTE favorable à une gestion «décentralisée», Benbouzid leur renvoit tout simplement la balle.

Affirmant que le vote s’est déroulé «dans la transparence totale» avec la participation de 95% des travailleurs à l’opération, le ministre niera avoir reçu des recours alors que le Syndicat national des travailleurs de l’Education (SNTE) avait diffusé un recours adressé au ministre dans lequel il dénonce «l’irrégularité» du scrutin. Le ministre rappellera avoir répondu à la demande de décentralisation des œuvres sociales,

et «il appartient aux syndicats de choisir la façon de les gérer», ajoute-t-il. Benbouzid qui était dans la délégation ministérielle (10 ministres) a, pour rappel, été accompagné par les ministres de la Formation professionnelle et de l’Habitat. Noureddine Moussa a ainsi inauguré 148 logements socio-locatifs de type F3, destinés

à la résorption de l’habitat précaire, au quartier El-Moussalaha (réconciliation) du chef-lieu de la wilaya. Pour sa part, le ministre de la Formation et de l’Enseignement professionnels, El-Hadi Khaldi, a inauguré à Laghouat un centre de formation spécialisée dans l’artisanat traditionnel (200 places) et un centre de formation professionnelle et d’apprentissage (CFPA) de 200 places à El Assafia.