Secteur de l’éducation à Béjaïa : Désarroi général 2024.

Secteur de l’éducation à Béjaïa : Désarroi général

C’est bleu, c’est rose mais ce n’est pas très clair dans le ciel de nos potaches. Jamais de mémoire d’enseignant, de collégien, voire de parents d’élèves une rentrée n’a donné autant le tournis à tout le monde. Le passage au nouveau week-end a eu le mérite, diront ceux qui le vivent de près, de révéler au grand jour, toutes les imperfections des répartitions horaires, infligées par le nombre de matières et le volume des programmes.

Les enseignants, il s’agit de ceux-là, se sont toujours plaints par le passé des emplois du temps surchargés. Si les profs étaient tenus de respecter scrupuleusement, réglementation et conscience professionnelle obligent, leur emploi du temps, les élèves y apportaient « des rectificatifs », pour son allègement en recourant dans pas mal de cas à l’école buissonnière. L’opinion publique, enfin diront les « fourbus » enseignants, en saura quelque chose, à la lumière de ce qui tient quasiment d’une gageure : l’application du week-end plein de deux jours. Il n’y a pratiquement pas de vide où caser les 4 heures anciennement du jeudi matin puisque, doit-on comprendre, il n’est pas question de les reporter sur le vendredi matin. C’est consacré par sacralité. On « étire », comme solution donc, les après-midi.
Entendue cette réflexion d’un potache : « c’est comme chez Cevital », pour dire à l’usine, « on est au poste 8 heures de la journée ». La surcharge des classes et le niveau des élèves font que des professeurs honnissent simplement les heures supplémentaires. L’exemple nous vient du lycée mixte d’Amizour où les enseignants ont été en grève pour, entre autres revendications, la surcharge des emplois du temps. Le taux de rétribution actuel et la non-fixation de manière définie des heures supplémentaires dans l’emploi du temps font que les profs n’y courent pas derrière. Pour les écoles soumises à la double-vacation, on bat le rappel des troupes le mardi après-midi et le samedi matin.
Approuvée, cette réflexion, par un inspecteur d’une circonscription de l’intérieur de la wilaya : le samedi est-il considéré dans ce cas comme premier ou dernier jour de la semaine ? Un autre désappointement, celui-ci entendu chez une parente d’élève, et elle est de métier enseignante : son petit chérubin ferait mieux de remplacer son cartable par un chariot pour transporter livres et cahiers puisqu’on lui a programmé pour une même journée 8 matières différentes. Dans sa dernière déclaration, le SETE/WB revient sur la décision d’ouvrir les écoles où est appliquée la double vacation et « rejette totalement cette nouvelle mesure » qui selon les termes de ce syndicat « compromet la qualité de l’enseignement prodigué à nos enfants ». Des parents d’enfants en bas âge seraient carrément partis en quête d’une école où la simple vacation est en vigueur. Surtout que la cantine n’est pas encore généralisée et la garderie supprimée dans la plupart des établissements.

nous enseignants du 1 et 2 palier de la commune de bejaia en refuse de travaile le samedi matin et en a exprime cela dans une declaration et en appelle le sete wb a entreprendre une action de grand envergure pour faire barage a cette hogra et ce que les instituteurs n’ent pas le droit de prendre un week-end comme les autres fonctionnaire d’autre secteur et les parents d’eleves aprouve pleinnement cette reflexion.

nous somme avec vous
enseignants du 1 et 2 palier de la commune de bejaia

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nous somme avec vous
enseignants du 1 et 2 palier de la commune de bejaia

MERCI BCP philosophe74

المشكل في بجاية مديرية التربية المتعفنة كل شيء بالمعرفة

pas des primes indemnitaires pour secteur l’education 2024.

pas d’augmentation des salaires et surtout pas des primes indemnitaires pour secteur l’education
le journal el nahar sont des MENTEURS

صدقت والله

صقت ليس فقط جريدة النهار فقط بل كل الصحف الجزائرية

Réformes dans le secteur éducatif 2024.

Réformes dans le secteur éducatif

Au cours des dix années qui ont suivi le lancement, en 2024, d’un grand chantier de réformes du système éducatif algérien, le pays a mis en œuvre de nombreuses initiatives visant à améliorer les programmes et l’enseignement, récoltant toutefois, bien souvent, des résultats mitigés. Afin de garantir que les réformes existantes produisent l’effet escompté sur le secteur, le Ministre algérien de l’Éducation Nationale a fait appel à une variété d’acteurs concernés pour dresser le bilan des progrès effectués par les écoles du pays depuis 2024 ainsi qu’identifier les défis qui restent à surmonter.

L’Algérie a une population très jeune, ce qui rend son secteur éducatif crucial, non seulement en tant que vecteur d’emploi mais également comme moyen d’étayer les efforts de diversification économique. Cependant, la hausse considérable du nombre de jeunes scolarisés exerce une pression de plus en plus accrue sur les ressources actuelles et les réformes passées ont eu bien du mal à faire face à l’augmentation de la demande. Par conséquent, le Ministère de l’Éducation Nationale cherche à appliquer une stratégie plus axée sur les consultations afin de renforcer le développement du secteur.

« Améliorer la qualité de l’enseignement en impliquant tous les acteurs clés est l’un des objectifs prioritaires du secteur de l’éducation, » a déclaré en septembre dernier le Ministre de l’Éducation Nationale Abdelatif Baba Ahmed. Pour cela, le gouvernement s’emploie à formaliser le dialogue non seulement avec les administrateurs locaux mais aussi avec les syndicats d’enseignants et les associations de parents d’élèves. En janvier 2024, une rencontre a réuni pour la première fois des responsables du ministère et de la Fédération Nationale des Associations de Parents d’Élèves afin de discuter des progrès de l’année scolaire 2024/2015.

Des consultations supplémentaires ont eu lieu entre février et avril 2024. Ces rencontres avec les acteurs du secteur, démarche jusqu’à présent relativement peu répandue dans les secteurs de l’éducation primaire et secondaire en Algérie, s’attacheront non seulement à solliciter une plus grande participation de la part des élèves et des étudiants, des parents, des enseignants et des personnels administratifs mais reviendront également sur les résultats des différents projets de réformes depuis leur mise en place- en particulier en termes de programmes, de formation des enseignants ainsi que de gestion et d’administration du secteur.

C’est à la commission nationale de réforme de l’éducation nationale, créée par le Président Abdelaziz Bouteflika à peine deux ans auparavant, que l’on doit les premières réformes de 2024, formulées dans le cadre d’une stratégie globale visant à améliorer la qualité de l’éducation en augmentant le niveau de qualification des enseignants et en modernisant les méthodes d’enseignement, les programmes scolaires et les manuels. Les réformes ont été étendues dans le cadre du Programme Complémentaire de Soutien à la Croissance Économique 2024-2017 grâce à une augmentation des frais d’inscription dans les lycées et les établissements d’enseignement supérieur.

Lors du lancement de l’évaluation des réformes de 2024, Baba Ahmed a souligné explicitement que certains aspects de la réforme n’étaient pas négociables. Les résultats de cette évaluation et les commentaires qu’ils engendreront de la part des divers acteurs au sujet du processus et du rapport final permettront d’obtenir des estimations quant à l’amélioration possible de l’exécution des réformes et la mise en œuvre d’initiatives mieux ciblées.

En Algérie, les indicateurs généraux en matière d’éducation, notamment le taux global d’alphabétisation, se sont améliorés au cours des dix dernières années, mais le secteur s’est vu confronté à des défis de taille, comme une infrastructure inadaptée ou des ressources humaines limitées, incitant le gouvernement à fortement augmenter les dépenses publiques à destination du secteur. En 2024, l’Etat a alloué une enveloppe de 852 milliards de dinars (8,3 milliards d’euros) à un plan quinquennal d’investissement, la majeure partie destinée au financement de la construction de nouvelles écoles. Dans le cadre de cette stratégie, l’État envisage de construire 3000 écoles primaires supplémentaires ainsi que 1000 collèges afin d’accélérer la cadence en matière d’amélioration des infrastructures et de désengorger les classes surchargées.

L’examen ministériel intervient à un moment crucial, alors qu’une vague de nouveaux élèves sont arrivés sur les bancs de l’école secondaire à la rentrée 2024. Les réformes de 2024 avaient donné lieu à une réduction de la durée du cycle primaire, en conséquence de quoi des élèves de l’ancien système et du nouveau système arrivent à l’école secondaire la même année. Afin de faire face aux problèmes de capacité d’accueil, le Ministère de l’Éducation Nationale accorde une attention accrue aux projets de construction d’écoles, en collaboration avec les collectivités locales pour s’assurer de la bonne réalisation des projets nécessaires. Les inscriptions à l’école ont été multipliées par 5 au cours des 20 dernières années et 800 000 élèves supplémentaires sont attendus d’ici 2024, ce qui portera leur nombre à 2 millions.

Le Ministère de l’Éducation Nationale a également indiqué qu’il projetait de lancer une campagne de recrutement massif et de consacrer en priorité des ressources supplémentaires à la formation des enseignants déjà en poste. 11 500 enseignants supplémentaires ont par exemple été recrutés en août 2024 pour l’année scolaire 2024/2015, un dispositif qui concerne en particulier les écoles secondaires qui ont besoin de plus de 8000 enseignants pour des matières telles que les mathématiques, l’informatique, la physique, les langues et la philosophie.

Autre mesure d’amélioration de l’éducation primaire et secondaire, un projet d’établir une Commission Nationale des Programmes et un Conseil National de l’Éducation et de la Formation est en cours. Les deux organisations seraient séparées du Ministère de l’Éducation Nationale et auraient pour tâche d’émettre des critiques et des recommandations afin d’améliorer la formation et la qualité de l’enseignement.

Comment le système éducatif réussira, à terme, à faire face à un nombre croissant d’élèves arrivant dans le secondaire cette année, et est-ce que l’économie pourra absorber ces jeunes quand ils entreront sur le marché du travail, voilà ce qui constitue le véritable test pour un secteur éducatif algérien en transition, tant en termes de capacité que de qualité.

législation de travail dans le secteur privé 2024.

السلام عليكم و رحمة الله تعالى و بركاته
انا طالبة في الشبه الطبي طلب منا تخضير بحث عن législation de travail dans le secteur privé اروجكم ساعدوني

entreprise
le code de travail 90/11 et les statuts particulier de

le statuts particulier des entreprise

Baba Ahmed procède à un remaniement dans le secteur de l’éducation 2024.

Baba Ahmed procède à un remaniement dans le secteur de l’éducation

Le ministre de l’Education nationale, Baba Ahmed Abdellatif a procédé à un remaniement dans le secteur de l’éducation en désignant de jeunes compétences et en mettant fin aux fonctions d’autres.

Echorouk a appris de certaines sources, que le ministre de l’Education a mis fin respectivement aux fonctions du directeur de l’Institut national de la formation des personnels de l’éducation, et de l’inspecteur et ancien directeur des ressources humaines (DRH), Rabah Boukadi et Ilyas Ben Azout. Abdellatif Baba Ahmed a mis également à la retraite le directeur général de l’Office national d’alphabétisation, Bouchelalek Abderrahmane et le directeur de l’éducation de la wilaya de Laghouat remplacés respectivement par Abdelhamid Belabed et Mohamed Benyahia.D’autre part, Belkacem Djemai occupe désormais le poste de directeur de l’éducation de Chlef en remplacement de Yakoubi Dahdouh désigné de son côté au poste de directeur de l’éducation de Biskra. Miloud Bouazghi a été nommé à la tête de la direction de l’éducation de Jijel en remplacement de Saleh Chihab qui occupe désormais le poste de directeur de l’éducation de Batna.En outre, Abdelhakim Boussaha a été nommé directeur des ressources humaines en remplacement de Mohamed Boukhetta, désigné quant à lui inspecteur à l’Inspection générale de la pédagogie, tandis que Abdelhakim Medjadi occupe désormais le poste de sous-directeur de la gestion scolaire en remplacement de Mayouf désigné à l’Inspection générale de l’administration du ministère de l’Education nationale

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Baba Ahmed procède à un remaniement dans le secteur de l’éducation
Le ministre de l’Education nationale, Baba Ahmed Abdellatif a procédé à un remaniement dans le secteur de l’éducation en désignant de jeunes compétences et en mettant fin aux fonctions d’autres.
Echorouk a appris de certaines sources, que le ministre de l’Education a mis fin respectivement aux fonctions du directeur de l’Institut national de la formation des personnels de l’éducation, et de l’inspecteur et ancien directeur des ressources humaines (DRH), Rabah Boukadi et Ilyas Ben Azout. Abdellatif Baba Ahmed a mis également à la retraite le directeur général de l’Office national d’alphabétisation, Bouchelalek Abderrahmane et le directeur de l’éducation de la wilaya de Laghouat remplacés respectivement par Abdelhamid Belabed et Mohamed Benyahia.D’autre part, Belkacem Djemai occupe désormais le poste de directeur de l’éducation de Chlef en remplacement de Yakoubi Dahdouh désigné de son côté au poste de directeur de l’éducation de Biskra. Miloud Bouazghi a été nommé à la tête de la direction de l’éducation de Jijel en remplacement de Saleh Chihab qui occupe désormais le poste de directeur de l’éducation de Batna.En outre, Abdelhakim Boussaha a été nommé directeur des ressources humaines en remplacement de Mohamed Boukhetta, désigné quant à lui inspecteur à l’Inspection générale de la pédagogie, tandis que Abdelhakim Medjadi occupe désormais le poste de sous-directeur de la gestion scolaire en remplacement de Mayouf désigné à l’Inspection générale de l’administration du ministère de l’Education nationale

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et ainsiBOUSSAHA installa son frere au poste de chef de service a annaba.
AINSI VA LA MEDIOCRITE