Les syndicalistes interpellent la Centrale syndicale à Béjaïa 2024.

Réunis avant-hier au siège syndical, les membres du Conseil syndical du SETE, sont sortis avec une décision d’interpeller la Centrale syndicale sur les retards quant à l’application des mesures prises lors de la dernière bipartite, syndicat et gouvernement. Pour le moment nous a confié l’un des membres du Syndicat de l’entreprise des travailleurs de l’éducation (SETE) de la wilaya de Béjaïa, aucune mesure n’est appliquée sur le terrain concernant le statut particulier ainsi que le payement des indemnités promises avec effet rétroactif à partir de janvier 2024. Selon notre interlocuteur, le syndicat a décidé de temporiser concernant le passage à une grève dans ce secteur après celle du 18 novembre dernier. Ce même syndicat veut attendre jusqu’au mois de mars prochain après la rencontre qui aura lieu entre les responsables de la centrale syndicale et les membres de la fédération nationale de l’éducation suite à quoi une autre rencontre est prévue durant ce même mois de mars entre la centrale syndicale, la FNTE et le chef du gouvernement. C’est une sorte de rencontre de la dernière chance entre le gouvernement et les représentants de la fédération en présence des membres de la centrale syndicale avant le passage à une action d’envergure nationale au niveau de ce secteur toujours en ébullition. Toujours est-il que cette nouvelle chance donnée par le syndicat à la centrale syndicale de peser de tout son poids pour ramener le gouvernement à appliquer les décisions prises en faveur des travailleurs de ce secteur notamment en ce qui concerne le régime indemnitaire a suscité une sorte de scepticisme au sein de la base qui ne jure que par la radicalisation de leur mouvement, c’est-à-dire aller vers un mouvement de grève dans les plus brefs délais malgré les « réticences » du patron de la Centrale syndicale à l’égard d’une telle option.

je crois que L ‘UGTA ne pourra rien faire sans l’accord du gouvernement pour la simple raison UGTA fait partie du gouvernement sidi Saîd c’est le pompier de l’état

Le sete de bejaia ha ha ha

Les professeurs des lycées techniques interpellent Baba Ahmed 2024.

Les professeurs des lycées techniques interpellent Baba Ahmed

Le dossier des professeurs techniques des lycées techniques ne cesse de faire des vagues depuis la suppression de leur statut par la tutelle.

En effet, le statut des enseignants de cette filière a provoqué une vive tension. Les PTLT, qui ont manifesté plusieurs fois leur mé*******ement en transmettant leur plate-forme de revendications au ministère de l’Education nationale, continuent leur combat pour la valorisation de leur statut. Dans un communiqué diffusé, hier, par le comité national des professeurs techniques des lycées techniques, les PTLT ont appelé le ministère de l’Education à entamer des réformes afin de trouver une solution à leur problème et valoriser leurs efforts dans l’enseignement. Ces derniers, qui refusent de se présenter sous aucune bannière syndicale, ont appelé la direction de la fonction publique à intervenir pour mettre un terme à la dégradation de leurs conditions socioprofessionnelles. Le comité des PTLT, qui représente huit cents enseignants à l’échelle nationale, a souligné, dans le communiqué, que ces enseignants marginalisés ont été déçus par la proposition du ministère de l’Education et quelques organisations syndicales, obligeant ces derniers à passer un concours professionnel pour avoir droit à des promotions. Pour les PTLT, le département de Abdellatif Baba Ahmed n’a pas titularisé cette catégorie d’ enseignants depuis l’année 2024, malgré leur compétence et les efforts fournis durant des années d’exercice. Selon le communiqué, les PTLT demandent au ministère d’annuler leur inscription sur la liste d’aptitude et examens professionnels. Ils ont dénoncé, par ailleurs, le fait qu’après plus de vingt ans d’expérience, ils se retrouvent obligés de passer un concours.
Pour les professeurs techniques des lycées techniques, un corps de l’éducation qui a rendu énormément de services (remplacement des coopérants techniques et arabisation de l’enseignement technique) et qui continuent à le faire, ils s’estiment lésés et victimes de la non -valorisation de leur carrière professionnelle, alors qu’il s’agirait plutôt de procéder à une réforme en profondeur.
Khadidja Semai

شكرا على الاعلام ……هرمنا ……لا تنتظر الكثير من على بابا و …………..1000 حرامي …ينطبق علينا المثل ….لى حضر المعزتوا ………………………..