Les parents d’élèves veulent saisir Bouteflika 2024.

Enseignants contractuels: Les parents d’élèves veulent saisir Bouteflika

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الجيريا La Fédération nationale et l’Union nationale des parents d’élèves ont rencontré, le 29 août dernier, des membres du bureau du Conseil national des enseignants contractuels (Cnec). Cette rencontre a tourné autour des aides matérielles que pourraient apporter les associations des parents d’élèves aux enseignants contractuels qui n’ont pas perçu leurs mensualités, d’une part, et de l’autre, les soutenir en ce qui concerne leur intégration à la fonction publique. La question des droits sociaux des enseignants à été également abordée. Autre point abordé, le statut actuel des contractuels ne leur permet pas de percevoir des salaires pendant les vacances scolaires et pendant les congés de maternité.

Cette réunion intervient à la suite de l’appel lancé, il y a quelques jours, par le Cnec concernant les conditions sociales précaires aggravées pour certains contractuels en raison du non-payement des salaires pendant une année et jusqu’à 3 années. Cette situation qu’endurent ces enseignants a poussé ces derniers à demander à être inscrits dans les listes des nécessiteux pour bénéficier du «couffin du ramadhan». Au sujet des concours, le ministère de l’Education nationale «fait dans la bureaucratie et ne se presse pas pour organiser les concours d’entrée pour les contractuels, alors que le besoin en personnel enseignant se fait sentir », a indiqué Maarouf Meriem, présidente du bureau du Cnec.

Les doléances du Cnec seront, selon le président d’honneur de l’Union nationale des parents d’élèves M. Mebarki, prises en charge et transmises au président de la République.

les parents d’eleves lancent un SOS AU PRESIDENT DE LA REPUBLIC 2024.

les parents d’eleves lancent un SOS AU PRESIDENT DE LA REPUBLIC le nouveau système d’orientation EN ALGERIE EST NUL un collectif de parents d’élèves s’insurge contre ce qu’ils jugent être un « scandale ». « Comment des bacheliers série mathématiques, technique, génie civil, génie mécanique ou génie électrique peuvent-ils être orientés en sciences humaines ou en sciences sociales ? », peut-on lire dans le document. Les étudiants dont il est question ont été, dès la 2e année secondaire, pilotés vers ces nouvelles branches en vue de leur intégration directe dans des universités en fonction de leur formation spécialisante.

D’où leur douloureuse surprise. Après avoir suivi un programme similaire à celui dispensé aux classes de mathématiques, ils devront s’initier à des modules tels la classification bibliographique, les techniques d’archivage et de recherche ou encore la psychosociologie de la communication. « Leur avenir est aujourd’hui brisé par un système défaillant », accusent les parents d’élèves. Ils ne sont d’ailleurs pas les seuls à critiquer aussi vertement ces décisions « aléatoires ». « Parfois, l’orientation ne semble suivre aucune logique », reconnaît l’un des responsables des inscriptions au sein de l’université d’Alger.copié https://www.city-dz.com/choix-des-fil…aux-etudiants/

Parce que le ministère de l’Education curriculum importés des pays occidentaux sont étrangers à l’Algérie