il faut faire confiance au membre de commissions 2024.

Cher collègue , sache une chose et très importante pour nous tous je parle notre corps personnels d’intendance , nous avons vécu des moment très difficile surtout en 2024 âpres les augmentations des salaires et pour l’année 2024 le scénario a repeter encore mais nous avons créer le site et nous avons créer une base pour défendre notre droit légitime et il faut voir combien notre cher collègue femme et homme qui ont déplacer des millier kilomètre pour assister au rassemblement de 28 février 2024 et surtout le 15 mars 2024 et merci dieu que aujourd’hui nous avons une force imbattable une force qui va j’aimais disparaitre , et c’est une question de quelques jour cher collègue il faut faire confiance au membre de commissions et vive l’Algérie et vive personnels d’intendance au territoire nationale .

Nous n’avons plus confiance en la tutelle” 2024.

Les syndicats de l’Éducation ne décolèrent pas
“Nous n’avons plus confiance en la tutelle”
Par : Djazia Safia
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Les engagements du ministère de l’Éducation ne semblent pas convaincre les syndicats grévistes qui exigent “du concret”.
La protestation continue dans le secteur de l’éducation malgré les multiples appels du ministère de l’Éducation à la reprise des cours après que des “réponses positives” eurent été apportées à leurs revendications. Les syndicats, joints hier par téléphone, ont justifié la poursuite de la grève, pour la troisième semaine consécutive, par le manque de confiance à l’égard de la tutelle. “Pour l’heure, le ministère n’a donné aucune réponse au sujet des préalables”, nous a expliqué le chargé de communication du Cnapest, Messaoud Boudiba.
Au sujet des commissions installées hier et aujourd’hui pour l’examen des dossiers des indemnités, des œuvres sociales et la médecine du travail, notre interlocuteur a expliqué que “la tutelle sait très bien que nous n’avons plus confiance en ces commissions. Le mois de juin on a installé les mêmes commissions mais elles n’ont rien donné”, insiste M. Boudiba qui a, par ailleurs, estimé que “le retour de la confiance avec le ministre de l’Éducation doit passer par des décisions réelles”. Le syndicat réitère les mêmes revendications, à savoir l’annulation de la décision 159/94 par un autre arrêté. “Devant une telle situation et l’absence du concret à présenter à la base, comment voulez-vous qu’on puisse les convaincre d’arrêter la protestation ?” s’interroge M. Boudiba. Concernant le taux de suivi de la grève, M. Boudiba assure que plus de 98% des enseignants dans le secondaire sur le territoire national ont fait grève et près de 87% dans le primaire et dans le moyen. Pour ce qui est des sit-in devant les Directions de wilaya, notre interlocuteur a indiqué que “c’était une vraie réussite. Il y avait les professeurs des trois paliers et personne ne veut faire machine arrière”. Même son de cloche chez le CLA qui a affirmé que le mouvement de protestation continue. “Nous en avons assez des promesses de la tutelle, nous voulons des réponses écrites et des chiffres”, clame le représentant du CLA, Idir Achour, contacté par téléphone. Ce dernier a assuré que “le corps enseignant n’a plus confiance dans les commissions, car toutes celles qui ont été instaurées n’ont donné aucune réponse positive. M. Achour a rappelé que les revendications des grévistes ont été envoyées au ministère et les discussions doivent se faire en présence des commissions générales pour aboutir à des réponses claires”. Les trois responsables syndicaux se félicitent de la mobilisation sur le terrain, et le spectre d’une année blanche n’est pas à exclure, selon eux, “si nous n’avons aucune réponse palpable au cours de la semaine”. Le ministère de l’Éducation avait appelé samedi les syndicats du secteur, en grève, à la reprise des cours à partir de dimanche et au rattrapage dans les meilleurs délais de tous les cours perdus. “Alors que les pouvoirs publics ont accueilli favorablement les doléances des différents syndicats, il apparaît que le débrayage des cours se poursuit et à contre-courant des intérêts des enseignants eux-mêmes”, a souligné le ministre, considérant que les élèves “continuent à subir les aléas d’une scolarité fortement perturbée qui, si elle venait à perdurer, diminuerait irrémédiablement leurs capacités à faire face aux examens annoncés”. M. Benbouzid avait également interpellé chaque enseignant “pour qu’il évalue, en son âme et conscience, la mesure et la portée des réponses positives apportées par le ministère, en accord avec le gouvernement pour une prise en charge effective des préoccupations des enseignants”, estimant que ce sont de “réelles avancées que chacun de nous doit mesurer”.