Paiement du nouveau régime indemnitaire 2024.

الجيريا

Paiement du nouveau régime indemnitaire avec effet rétroactif

Karim Djoudi : « Les recettes financières sont disponibles »

« L’Etat assume ses décisions », a affirmé le ministre des Finances, Karim Djoudi, en réaction à une question sur le paiement du nouveau régime indemnitaire par effet rétroactif.

Intervenant, hier, en marge d’une séance plénière de l’APN consacrée au vote de la loi de finances 2024, le ministre assure que les recettes budgétaires nécessaires pour satisfaire cet engagement sont disponibles. « Nous avons des montants qui sont provisionnés et qui nous permettent de prendre en charge l’effet rétroactif du régime indemnitaire qui a été décidé par Son Excellence le Président et le Premier ministre », déclare-t-il. Selon lui, le gouvernement attend la finalisation des statuts particuliers et la préparation du nouveau régime indemnitaire pour mettre en œuvre cette décision. Le grand argentier du pays revient également sur les prochaines décisions de la réunion tripartite qui se tiendra aujourd’hui à Alger, en particulier celles relatives au nouveau salaire de base. A ce sujet, il précise encore que « les recettes budgétaires nécessaires sont également prévues dans le cadre de la loi de finances 2024 ». « La tripartite va se réunir demain (aujourd’hui ndlr) et des décisions seront prises. Quelle que soit la décision qui sera prise par le gouvernement, elle sera appliquée sur le terrain selon les capacités budgétaires prévues dans le cadre de la loi de finances 2024 ou les lois précédentes », a-t-il dit.
Aucune opération engagée avec le FMI
Revenant sur le projet de la loi de finances 2024, adopté à la majorité par les députés, Karim Djoudi affiche sa satisfaction. « Ce que l’on peut noter est que les amendements qui ont été retenus sont des amendements qui confortent la politique de l’Etat en matière de facilitation d’impôts et de la réduction de la pression fiscale », estime-t-il. S’exprimant sur la question de l’achat par l’Algérie des obligations proposées par le FMI, l’orateur précise qu’aucune décision n’a été prise pour le moment. « Nous n’avons pas encore engagé une opération avec le FMI », soutient-il. L’Algérie, enchaîne-t-il, a un certain nombre d’indicateurs financiers et économiques très favorables dans un contexte de crise internationale. « Nos indicateurs, nous permettent d’aborder bien cette crise, mais bien évidemment nous devons gérer cette situation avec beaucoup de prudence », note-t-il. Dans la foulée, il relève que l’Algérie a engagé certaines actions « qui lui facilitent aujourd’hui la gestion de cette crise ».
Il cite dans ce sens, le paiement par anticipation de la dette extérieure, la réduction de la dette intérieure qui passe de 1170 milliards de dinars en juin 2024 à 750 milliards de dinars en juin 2024 et la constitution d’une épargne budgétaire équivalente à 40% du produit intérieur brut (PIB). « Nous avons également fait un choix de financement de notre économie par le dinar au lieu de recourir aux lignes de crédits extérieurs », ajoute-t-il. A une question de savoir si la filiale algérienne sera touchée par la crise de Dubai World, Karim Djoudi estime que non. « La crise de Dubaï est liée à une déconnexion entre l’offre et la demande. Il y a des problèmes de solvabilité financière et de couverture financière des engagements pris qui se posent. Nous, nous ne sommes pas concernés. La filiale de Dubai World en Algérie est une filiale de gestion qui n’est pas soumise à un risque de faillite », explique-t-il.

des points ne sont plus claires à propos de l’idemnition

Quelle que soit la décision qui sera prise par le gouvernement, elle sera appliquée sur le terrain selon les capacités budgétaires prévues dans le cadre de la loi de finances 2024

il ne faut pas trop rêver , car ce n’est pas encore vraie et cela est dû à plusieurs choses

dire ou écrire c’est très facile , mais nous esperons que l’application sera proche; que faire, si on nous donne ce qu’on leur dois sur plusieurs tranches comme chaque fois que le montant est elevé; parce qu’il concerne le cadre des enseignants, pas les militaires , les débutés ou les cadres supérieurs de l’état

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