من خلال الحصة التلفيزيونية رقم 2 في قناة A3عن الجامعة ليوم أمس التي حضر فيها ممثلين عن الوزارة و الطلبة
تاكيد على فكرةدكتورا نظام ل م د تعادل وتطابق وتساوي دكتورا كلاسيكي
وكأننا لم نقضي 3 سنوات الى أربعة على الأقل في الماجيستار متفرغين وبدون منحة للأسف والأدهى والأمر وكأننا نحظر الدكتوراه و نحن في مناصب عمل
والله شئ مأسف يا خوتي ( مشاركة العضو kamanitli)
التعقيب
ومن خلال حوارهم لاحظنا أنهم يعتبرون دكتورا ل م د نفسها دكتورا علوم لا يوجد فرق
سنكون كبش فداء نحن من يحضرون لشهادة دكتورا bac +11
on est desormet fixés sur l’intention des autorités apres ce qu’on a entendu hier a la tele ils veulent allez au bras de faire contre les etudients il faut danc se batre
clear sign of failure and victims are only students….
I can say this is the new rule : 3 is equal to 5. furthermore it is the beginning of the inimportance of diploma in Algeria…
حراوبية: ما تعيشه الجامعة من حراك أمر صحي وطبيعي
05-04-2016 تلمسان: نورالدين بلهواري
وأكد حراوبية أن الوزارة سعت لوضع أطر الحوار والنقاش للتكفل بكل المشاكل العلمية البيداغوجية والاجتماعية للطلبة والأساتذة، مشترطا المرور على الهياكل والأطر المختصة.
حراوبية الذي استقبل بالهتافات من طرف عشرات الطلبة بكلية علوم الطبيعة والحياة والدين وتجنب ملاقاتهم بعين المكان أكد خلال اللقاء الصحفي أن الوزارة مستعدة لطرح وحل إشكالية تسمية الشهادة بالنسبة لطلبة الصيدلة وطب الأسنان وترقيتها إلى مصاف الدكتوراه.
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الإحتجاجات على غياب النقل أرغمته على تقليص نقاط جولته الرسمية
الطلبة يمنعون حراوبية بالقوة من دخول القطب الجامعي بتلمسان
2024.04.04 – سميح.ب
عاد وزير التعليم العالي والبحث العلمي رشيد حراوبية أدراجه خلال زيارة العمل التي كان يعتزم القيام بها إلى القطب الجامعي بشتوان في ولاية تلمسان، بعد أن واجهته احتجاجات طلابية ابتعدت هذه المرة عن نظام الألمدي الذي بات الطلبة يسمونه نظام "الألم طويل الأمد"، حيث شلّت الإستجابة الواسعة للإضراب الذي دعا إليه الإتحاد الوطني للطلبة الجزائريين "الإينيا" القطب الجامعي.
- وأكد الغاضبون أن احتجاجهم يتمحور حول عدم استجابة الإدارة ومديرية الخدمات الجامعية للمطالب التي يرفعونها منذ أزيد من سنتين، وتتعلق بتوفير النقل شبه الحضري، حيث أكد الطلبة المحرومون من الإقامة الجامعية والقادمون من الحناية وعين يوسف، الرمشي وأولاد ميمون وعين فزة وتيرني وغيرها، من البلديات القريبة من مقر الولاية، أن مشوارهم الدراسي بات مهدّدا في ظل أزمة النقل التي يدفعون ثمنها بشكل يومي.
- وأضاف الطلبة أن معاناتهم تبدأ من ساعات الصبيحة الأولى ولا تنتهي إلا في ساعات متأخرة من اليوم، حيث بات التفكير في ضمان مقعد في الحافلات يطغى على يومياتهم ولو على حساب تركيزهم على الدراسات، وطالب المحتجون من رئاسة الجامعة تقديم ضمانات جدية بخصوص الموسم الدراسي القادم من أجل استئناف الدراسة.
- وكان وزير القطاع قد حلّ في زيارة عمل بولاية تلمسان للوقوف على أهم المنجزات التي استفاد منها القطاع، خاصة وأن تلمسان تحولت إلى قطب جامعي متميز بعد استفادته خلال البرامج المتتالية الأخيرة من آلاف المقاعد البيداغوجية والأسرّة، مما جعل الجامعة تشهد تحولا نوعيا في الخدمات المقدمة للطلبة وهو ما مكنها من تبوأ المركز الريادي على المستوى الوطني في مختلف الإحصائيات التي تشرف على إعدادها مراكز دولية.
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Poursuite de la grève et appel à une marche millionnaire le 12 avril
Le spectre d’une année blanche plane sur les universités algériennes
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Samia Amine
Les étudiants ne rejoindront pas les bancs des universités. Lors d’une rencontre tenue ce dimanche 3 avril à la faculté de Bouzareah à Alger, la Coordination nationale des universités a décidé de maintenir la pression en poursuivant la grève à travers tout le territoire national. Outre ce mouvement de débrayage qui restera ouvert, cette organisation estudiantine appelle les étudiants à participer massivement à une marche « millionnaire » le 12 avril à Alger. Cette manifestation devra partir de la Grande Poste avec comme destination le siège de la Présidence de la République à El Mouradia.
La mobilisation des étudiants ne faiblit pas. Une autre rencontre de deux jours devrait se tenir à partir de mercredi 6 avril à Alger. Les résultats de la conférence nationale tenue le 27 mars dernier ainsi que les déclarations du premier responsable du département ministériel de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique semblent lui avoir donné un nouvel élan. Mais la poursuite du mouvement de contestation qui a vu le jour début février dans les campus en Algérie laisse actuellement planer le spectre d’une année blanche.
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le 05.04.11 | 12h06
Des centaines d’étudiants ont été empêchés de marcher, mardi, à Boumerdès. Les forces de police ont, dès le début de matinée, pris place devant la faculté des sciences de l’ingénieur d’où devait démarrer la marche. Surpris par le nombre de policiers mobilisés pour mater leur action, les étudiants se sont mis à scander des slogans hostiles au système en place.
Ils ont brandi des banderoles sur lesquels on peut lire : « Pour une université libre et autonome » « L’université est une industrie qui sert à alimenter la marché nationale de la pensée de la nation ».
Vers 9h30, des dizaines d’entre eux ont tenté de battre le pavé et de sortir de leur faculté, mais ils ont été bloqués par les éléments des forces de l’ordre, postés devant le portail principal de leur Faculté. Les protestataires ont tenté à maintes reprises de forcer l’escadron, mais en vain.
Les policiers ont même usé de leurs matraques, malgré les cris qui fusaient de la foule rappelant le caractère pacifique de leur action. Une demi-heure après, les étudiants ont réussi à sortir dans la rue via une petite porte qui a été ouverte il y a plus d’un mois par l’administration pour casser leur mouvement de grève.
Une fois dans la rue, les protestataires se sont mis à terre pour éviter de se faire bousculer par les agents de l’ordre qui les ont cernés de part et d’autre. Plusieurs bousculades, émaillées d’usage de la force ont eu lieu devant la cité U Baya Hocine des filles.
Certaines résidentes, empêchées de sortir de leur cité se sont mises à lancer des bouteilles d’eau de leur balcon. A Midi, la tension est toujours de mise. Les étudiants dénoncent le mépris affiché par la tutelle quant à la satisfaction de leurs principales revendications, précisant que la réunion du 27 mars a été tenue avec les représentants des organisations satellitaires et non pas avec les vrais délégués des universités du pays.
Ramdane Koubabi
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Centre universitaire de Bouira
Report de l’AG et jeu trouble de l’administration
5 Avril 2024 Ramdane B. 70 lecture(s)
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Initialement prévue pour hier lundi, l’Assemblée générale des étudiants du Centre universitaire de Bouira, n’a finalement pas eu lieu, pour des raisons qui restent flous.
En effet, cette AG qui devait déterminer la poursuite ou non de mouvement de protestation enclenché dimanche, a été repoussée a une date qui reste à déterminer.
Pourtant, les affiches annonçant la tenue de cette Assemblée sont encore accrochées au quatre coin du centre universitaire,En se rapprochant d’un étudiant pour s’enquérir de la situation, ce dernier nous dira : « Ce n’est pas pour aujourd’hui (hier, NDLR), il y’a un jeu trouble de la part de l’administration ». On lui demande de s’expliquer, il dit : « l’administration du centre ‘’passe à l’offensive’’, elle est en train d’essayer de diviser les avis concernant ce débrayage en agitant le spectre de l’année blanche ».
Aux abords de l’institut des langues et lettres Arabes, on retrouve le représentant des étudiants au niveau de ce département, il tient un meeting, dans lequel, il explique les manœuvres de l’administration pour casser ce mouvement : « Le directeur du centre nous convoque pour dialoguer avec lui, mais à peine la réunion terminée, il se dirige vers les étudiants, pour leur faire peur. Je le dis ici, en votre présence à tous, l’administration utilise la tactique qui consiste à deviser pour mieux régner, soyez vigilants ! ». dit-il, à la centaine d’étudiants qui l’entouraient. En le questionnant à propos de l’AG qui devait se tenir lundi matin, il répondra : « Comment voulez- vous tenir une assemblée générale des étudiants, quand, ces mes mêmes étudiants sont en proie à des menaces et des scénarios catastrophes, de la part d’une administration qui est passée maître dans l’art de la manipulation ». Il poursuit : « Moi, en tant que représentant des étudiants au niveau de ce département, je veux jouer la carte de la communication et du dialogue avec les différentes parties, le statut qui m’a été conféré par la base, m’interdit de les trahir, en allant semer la zizanie comme le font certains membres de comité ». Un peu plus loin, au département des sciences et technologie, on retrouve un membre de l’UGEL, que nous interrogeons sur cette annulation de l’AG, il dira a ce propos : “Je ne sais pas pour l’instant, tout est confus, l’administration nous appelle au dialogue, et étant une organisation viable, on doit écouter ces propositions, ensuite, on verra ». Un étudiant en 2eme année S.T nous interpelle, nous voyant avec le membre de l’UGEL, en disant : « Ces gars de l’UGEL sont de mèche avec l’administration, ils ne servent que leur propre intérêt, une AG devait ce tenir ce lundi, mais en fin de compte,elle est annulée, on ne sait pour quelle raison; comment expliquez-vous cela ? ». Encore un exemple de l’intervention de l’administration pour étouffer la grogne estudiantine, au département de Droit, on assiste à l’affichage des notes du 1er semestre, et d’après les propos recueillis sur place,et de mémoire d’étudiants, les notes n’ont jamais été aussi généreuses. Se renseignant auprès de Nacim, étudiant en 3éme année de Droit, il explique ceci : « C’est un miracle ! pas d’autres mots car, je ne peux expliquer cette avalanche de bonnes notes ». Dit-il en riant, il poursuit : « Sérieusement, je crois et je ne suis pas le seul à le penser, que c’est un coup de l’administration de notre centre, pour calmer les ardeurs des étudiants, mais je peux vous assurer, qui ni un 20/20 ,ni aucune manœuvre malhonnête ne peut nous faire fléchir ». Pour avoir de plus amples renseignements, on contacte le chef de file, de l’AREN, qui, il faut le souligner, s’est tenu à l’écart de toutes tractations directes ou indirectes avec l’exécutif de la fac de Bouira, et cela de l’avis de tous ! Yaakoub, président de cette organisation et représentant des étudiants, déclare : « Ici ,à Bouira, rien n’est clair, tout le monde se mêle de tout, nous à l’AREN, on est avec les étudiants, et qui dit être avec les étudiants, dit, être pour le maintien de la pression; la communauté estudiantine de Bouira est entrain de connaître sa plus grande vague de contestation depuis la création de notre centre, c’est une belle preuve de maturité et de conscience collective ».
Il poursuit, en déclarant : « AG ou non, je vous assure que la contestation ira en s’amplifiant, jusqu’à l’obtention de nos revendications les plus élémentaires ». Malgré les dissensions au sein des différents comités d’étudiants et en dépit du jeu trouble de l’administration, on peut dire que la base estudiantine est déterminée plus que jamais à avoir gain de cause.
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Edition du Mardi 05 Avril 2024
Grandes écoles : la tension persiste
Une forte tendance pousse à la poursuite de la gréve
Par : MALIKA BEN
L’université algérienne n’est décidément pas près de sortir de la zone de turbulences. Les deux semaines de repos ont davantage permis aux étudiants de recharger leurs batteries et de revenir en force pour poursuivre la contestation.
Les débats, portant passerelles et correspondances entre les deux systèmes, classique et LMD, sanctionnés par une série de mesures lors de la Conférence nationale de l’USTHB, n’ont pas été d’un grand secours pour la tutelle. Bien au contraire, les recommandations et autres déclarations officielles faites le 27 mars dernier n’ont fait qu’envenimer la situation.
Les étudiants s’attendaient à une meilleure prise en charge de leurs doléances par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique.
Mé*******s donc des résultats de cette conférence perçue par la communauté estudiantine comme étant “la solution à toutes les contraintes pédagogiques”, les étudiants de la plupart de sauters établissements du supérieur ont opté pour le maintien du débrayage. Il faut dire que la journée d’hier a été des plus tendues dans les facultés, universités et autres écoles. Les assemblées générales se sont déroulées dans une ambiance électrique et une cacophonie totale, rapportent de nombreux délégués, avouant être dépassés par les évènements. Partagés entre deux tendances, à savoir les pour et les contre le maintien du débrayage, les délégués ont, pour la plupart, soumis la décision au vote.
C’est le cas notamment pour la première école d’où la protestation a été lancée il y a deux mois, à savoir l’École nationale supérieure des travaux publics de Garidi, Kouba (Alger).
En effet, l’appel à la reprise des cours, lancé par le délégué de l’ENSTP samedi, a provoqué l’ire de ses camarades. “Je m’adresse à tous les étudiants de l’ENSTP pour leur demander de rejoindre l’école afin de continuer les études, et particulièrement aux étudiants de la 5e année pour leur demander d’entamer la suite de l’EMD du 9e semestre et la validation des PFE”, note la déclaration. Et de justifier cette décision par le fait que les étudiants de cette école “ne sont pas exposés d’une manière directe aux problèmes de classification qui concerne la Fonction publique, du moment que les ingénieurs ne sont pas formés pour être débauchés au niveau de cette structure”. Non convaincus, des étudiants se sont prononcés pour la poursuite du débrayage et d’autres ont voulu répondre favorablement à l’appel.
Pour départager les deux parties, l’assemblée générale a appelé les étudiants de la 5e année à reprendre les cours et ne pas compromettre leur avenir puisqu’ils sont obligés de travailler leurs projets. D’autres facultés et universités n’ont pas eu autant de difficultés à trancher la question puisque la décision a été prise samedi dernier pour le maintien de la grève. C’est le cas notamment de l’École nationale supérieure vétérinaire, des étudiants du système classique de l’université d’Alger III et leurs camarades de la faculté du Caroubier, l’université de Bouzaréah, les étudiants du système LMD de la faculté des sciences politiques et du journalisme. Ces derniers ont accordé “un délai d’une semaine, jusqu’au 9 avril prochain, à leur administration pour résoudre les problèmes pédagogiques, faute de quoi la grève illimitée se poursuivra”, révèle le délégué. L’université où a eu lieu la Conférence nationale, en l’occurrence l’USTHB, ne s’est toujours pas prononcée. “Nous sommes toujours en concertation car nous attendons le retour de tous les étudiants. Mais, une chose est sûre, s’il faut poursuivre le débrayage, nous le ferons.” En un mot, l’université est toujours sous tension et une large tendance de la poursuite de la protestation s’est dégagée des assemblées générales qui ont pu trancher dès le début de l’après-midi. Les grandes écoles tentent de trouver un juste milieu qui permettra aux étudiants de maintenir la pression, tout en suivant leurs cours pour éviter d’aller vers une année blanche.
www.liberte-algerie.com